Trace des Maquisards 2024
Citation de AUGUSTE CARVALHO le février 20, 2024, 8:21 pmCe samedi en fin d’après-midi, à l’heure de la rentrée de la sortie club, c’était le départ de la Trace des Maquisards à la gare d’Ambérieu en Bugey qui fut le théâtre du sabotage de 52 locomotives du 6 au 7juillet 1944. Pour honorer le courage de ces hommes et ces femmes rien de tel qu’une balade dans le Bugey pour passer dans de nombreux lieu de mémoires et rejoindre Oyonnax ville qui a vu en pleine occupation un défilé militaires de résistant le 11 novembre 1943 sous le nez de l’occupant Nazi.
Comme les 2 autres éditions, plusieurs formules avec un 10, 28,45 et 100km solo ou par équipe.
Par équipe ce sera pour ne pas changer une formule qui plait et qui développe l’esprit de cohésion le choix d’Alexis et Jeremy Rosserro accompagnés par 2 autres collègues de boulot ainsi qu’Antoine et Rémi remplaçant de luxe de dernière minute en 2quipe Mix avec 2 filles de ST So Court.
Gus qu’en a lui restera fidèle au 100 km et 4500D+ mais véritablement en solo car son collègue de boulot Christian ne prendra pas le départ.
Ambiance à la gare avec le chant des partisans, une section de maquisard au garde à vous de part et d’autre de la ligne et bien sur le public venu encourager les coureurs.
2223 inscrits sur l’ensemble des épreuves dont un peu moins de 400 sur le 100 km solo et environ 60 équipe relais.
17H00 top départ et c’est la remonté en direction du centre-ville par la grande avenue bloquée pour la circonstance. De chaque côté c’est un mur de spectateurs qui nous encourage pour ce qui va être une nuit dantesque. Il ne fait pas froid mais l’humidité et très présente et particulièrement sur les hauteurs de Bugey qu’on ne distingue pas car pris par les nuages bas.
Devant ça part très fort et c’est un immense cortège qui s’ébranle jusqu’à la sortie et les premières pentes ou les singles formeront de courts bouchons.
Le circuit a été remanié, avec 500D+ supplémentaire et un début original. On passe cette fois ci par le château de St GERMAIN pour rejoindre le bas d’Angrières d’en Haut J et St Rambert.
La c’est la foule des grands jours, grosse ambiance en haut des escaliers pour rejoindre la route de Monfriffon. La nuit tombe mais il fait encore relativement chaud. Dès la montée en haut de Vorages d’en Haut, le brouillard s’invite avec la nuit. Les frontales s’allument une à une pour donner un peu de charme à cette farandole qui grimpe. Grimpées rudes et descentes techniques du côté d’Oncieu. Premier ravitaillement, Antoine est là pour nous encourager. J’y retrouve pas mal de connaissances et les Allez Meximieux depuis le départ ne manquent pas. La montée vers le col d’Evoges est magnifique par le chemin qui coupe la route traditionnelle grâce aux myriades de lampe. Mais voilà le brouillard est là dès les 700m d’altitude. Le col est franchi, puis à droite par la falaise dans une ambiance surréaliste. On n’y voit pas à 5m, la lampe forme un allo de lumières qui complique la progression sur les secteurs technique. En haut après Evoges c’est le vent du nord accompagné de cette humidité qui accentue le froid. On n’a aucun repère, heureusement c’est très bien balisé car à partir de là on se retrouve vite isolé sans personne pour vous accompagner.
La descente de Résinand vous donne l’impression de retourner à la civilisation et particulièrement devant la stèle des Maquisard fusillées en 44. Là grosse ambiance sous une tente ou tireuse à bière et d’autres victuailles étaient là non pas pour les coureurs mais un groupe de résistants en tenus et de villageois. J’ai vu le coureur devant moi s’arrêter. A-t-il pris une bière ou autre chose, je ne le saurais pas car je file direction Corlier et le 38ème km lieu du vrai ravitaillement et du passage de relais pour les équipes. Avant cela, passage par une ancienne grange tenue par une poignée de Maquisards qui préparaient un sale coup contre l’occupant. Ils ont même invité Alexis à attaquer en direction de Corlier avec carte à l’appui. Trop sympa. A mon arrivée ils avaient allumé la cheminée et donnait de la soupe bien chaude à l’ancienne a ceux qui en voulaient. Je retrouve là Patrick Capentier du Team des Dombes. Un autre cycliste reconverti au trail
Arrivé à Corlier et c’est le brouillard total, on rentre se mettre à l’abri pour manger solide. 10mn de pose et je repars après avoir mangé du jambon et une soupe aux coquillettes. Je ne sais pas si c’est cela, mais le froid me tombe dessus et me glace le corps et au bout de 300m je suis pris de nausée. Je laisse les coquillettes sur le bord du chemin.
A cet instant c’est l’appréhension….comme ça va se passer par la suite ? pas le temps de tergiverser, il faut avancer. Les chemins deviennent de plus en plus difficile avec cette humidité, on a même l’impression qu’il pleut tellement les sapins ou branchages d’arbres dégoulinent.
Je mange un peu de ma réserve perso pour essayer de compenser la perte précédente, mais ce n’est pas facile, ça a beaucoup de mal à descendre.
Passage obligé au monument de la résistance dans le virage en haut de Cerdon avec une pensée à tous ceux qui ont donné de leurs vies pour que les nôtres soient celle qu’elles sont.
Vient le passage du col de Sapey et après c’est difficile de se repérer dans ce brouillard. La mi-course passe et arrive la descente vers Maillat. Une horreur très pentue au milieu d’une coupe de bois. C’est très limite, des racines, des souches, des troncs d’arbres en travers et cette pente vertigineuse, le tout dans une ambiance humide et glissante. Le moral en prend un coup, mais il faut rester concentrer pour ne pas partir à la faute. En bas la délivrance avec le ravitaillement sous une tente surchauffé et on y retrouve notre sac apporté par l’organisation. C’est le moment de se changer et de remettre des vêtements sec. Grignoter un peu mais ce n’est pas la grande faim. Je retrouve une nouvelle fois Patrick qui repartira encore une fois devant. C’est le 60ème kilomètre et 8heures de course. Le moral est remonté car un détour par Nantua et hop les 25 derniers kilomètre.
L’appétit est un peu revenu et je recharge les batteries car je sais qu’une dernière belle galère de 15 km nous attend. Il faut monter sur la falaise qui domine Nantua et retrouver le brouillard. C’est encore un secteur difficile car après la grosse montée c’est une succession de raidillons techniques et très casse pattes. La fatigue aidant je me prend une belle gamelle dans un secteur rocheux bien descendant. Résultat un coude qui a bien tapé avec le dos et une cheville qui s’est coincé. Je repars après les insultes classiques. Les chemins sont défoncés 10 à 20 cm de boue par endroit, c’est Holiday on ice.Le moral en prend encore un coup car c’est interminable jusqu’au lac Genin.
Ma montre me lâche et plus d’indication de distances, mais je sais ou je suis et avec le jour qui se lève et le ciel flamboyant dominant une mer de nuages dans la vallée, je devine que je suis sur la même base que l’année dernière.
Enfin le Lac Genin et son dernier ravitaillement puis le dernier col et la descente sur Oyonnax. Les jambes sont bonnes et je commence à doubler quelques concurrents et ça me booste. Encore une cible à ma portée, je le rejoints sur la place du 11 novembre, je jette un regard a passage et me dis, tiens peut être un gars de ma catégorie, alors je place une accélération dans les escaliers devant le camp des maquisards reconstitué en plein centre-ville et accélère. Un coup d’œil derrière, c’est bon il a lâché, je maintiens l’allure jusque sur la ligne ou Fabienne m’attend depuis une heure.
Je retrouve Patrick Carpentier qui vient tout juste d’arriver aussi il y a 3 mn.
Voila 16h06 de course, 100km et 4500D+ 97 scratch et 2ème M4. Comptant car avec 500D+ supplémentaires, des chemins défoncés et boueux, je suis très satisfait.
Une heure après j’ai commencé à ressentir une douleur à la cheville gauche, et dans l’après-midi elle a commencé à gonfler. C’est le résultat de ma chute. Entorse qui tant qu’elle était chaude ne m’a absolument pas gêné hormis dans les partie raide tout au long des 25 derniers kilomètre.
Place aux soins et au repos pour récupérer et préparer pour la fin avril le MIUT à Madère.
Beaucoup d'abandons pour cette édition rendue beaucoup plus difficile, mais avec une organisation top. De beaux souvenirs et d'émotions enmaganisés et certainement un trail qui va encore se développer.
GUS
Ce samedi en fin d’après-midi, à l’heure de la rentrée de la sortie club, c’était le départ de la Trace des Maquisards à la gare d’Ambérieu en Bugey qui fut le théâtre du sabotage de 52 locomotives du 6 au 7juillet 1944. Pour honorer le courage de ces hommes et ces femmes rien de tel qu’une balade dans le Bugey pour passer dans de nombreux lieu de mémoires et rejoindre Oyonnax ville qui a vu en pleine occupation un défilé militaires de résistant le 11 novembre 1943 sous le nez de l’occupant Nazi.
Comme les 2 autres éditions, plusieurs formules avec un 10, 28,45 et 100km solo ou par équipe.
Par équipe ce sera pour ne pas changer une formule qui plait et qui développe l’esprit de cohésion le choix d’Alexis et Jeremy Rosserro accompagnés par 2 autres collègues de boulot ainsi qu’Antoine et Rémi remplaçant de luxe de dernière minute en 2quipe Mix avec 2 filles de ST So Court.
Gus qu’en a lui restera fidèle au 100 km et 4500D+ mais véritablement en solo car son collègue de boulot Christian ne prendra pas le départ.
Ambiance à la gare avec le chant des partisans, une section de maquisard au garde à vous de part et d’autre de la ligne et bien sur le public venu encourager les coureurs.
2223 inscrits sur l’ensemble des épreuves dont un peu moins de 400 sur le 100 km solo et environ 60 équipe relais.
17H00 top départ et c’est la remonté en direction du centre-ville par la grande avenue bloquée pour la circonstance. De chaque côté c’est un mur de spectateurs qui nous encourage pour ce qui va être une nuit dantesque. Il ne fait pas froid mais l’humidité et très présente et particulièrement sur les hauteurs de Bugey qu’on ne distingue pas car pris par les nuages bas.
Devant ça part très fort et c’est un immense cortège qui s’ébranle jusqu’à la sortie et les premières pentes ou les singles formeront de courts bouchons.
Le circuit a été remanié, avec 500D+ supplémentaire et un début original. On passe cette fois ci par le château de St GERMAIN pour rejoindre le bas d’Angrières d’en Haut J et St Rambert.
La c’est la foule des grands jours, grosse ambiance en haut des escaliers pour rejoindre la route de Monfriffon. La nuit tombe mais il fait encore relativement chaud. Dès la montée en haut de Vorages d’en Haut, le brouillard s’invite avec la nuit. Les frontales s’allument une à une pour donner un peu de charme à cette farandole qui grimpe. Grimpées rudes et descentes techniques du côté d’Oncieu. Premier ravitaillement, Antoine est là pour nous encourager. J’y retrouve pas mal de connaissances et les Allez Meximieux depuis le départ ne manquent pas. La montée vers le col d’Evoges est magnifique par le chemin qui coupe la route traditionnelle grâce aux myriades de lampe. Mais voilà le brouillard est là dès les 700m d’altitude. Le col est franchi, puis à droite par la falaise dans une ambiance surréaliste. On n’y voit pas à 5m, la lampe forme un allo de lumières qui complique la progression sur les secteurs technique. En haut après Evoges c’est le vent du nord accompagné de cette humidité qui accentue le froid. On n’a aucun repère, heureusement c’est très bien balisé car à partir de là on se retrouve vite isolé sans personne pour vous accompagner.
La descente de Résinand vous donne l’impression de retourner à la civilisation et particulièrement devant la stèle des Maquisard fusillées en 44. Là grosse ambiance sous une tente ou tireuse à bière et d’autres victuailles étaient là non pas pour les coureurs mais un groupe de résistants en tenus et de villageois. J’ai vu le coureur devant moi s’arrêter. A-t-il pris une bière ou autre chose, je ne le saurais pas car je file direction Corlier et le 38ème km lieu du vrai ravitaillement et du passage de relais pour les équipes. Avant cela, passage par une ancienne grange tenue par une poignée de Maquisards qui préparaient un sale coup contre l’occupant. Ils ont même invité Alexis à attaquer en direction de Corlier avec carte à l’appui. Trop sympa. A mon arrivée ils avaient allumé la cheminée et donnait de la soupe bien chaude à l’ancienne a ceux qui en voulaient. Je retrouve là Patrick Capentier du Team des Dombes. Un autre cycliste reconverti au trail
Arrivé à Corlier et c’est le brouillard total, on rentre se mettre à l’abri pour manger solide. 10mn de pose et je repars après avoir mangé du jambon et une soupe aux coquillettes. Je ne sais pas si c’est cela, mais le froid me tombe dessus et me glace le corps et au bout de 300m je suis pris de nausée. Je laisse les coquillettes sur le bord du chemin.
A cet instant c’est l’appréhension….comme ça va se passer par la suite ? pas le temps de tergiverser, il faut avancer. Les chemins deviennent de plus en plus difficile avec cette humidité, on a même l’impression qu’il pleut tellement les sapins ou branchages d’arbres dégoulinent.
Je mange un peu de ma réserve perso pour essayer de compenser la perte précédente, mais ce n’est pas facile, ça a beaucoup de mal à descendre.
Passage obligé au monument de la résistance dans le virage en haut de Cerdon avec une pensée à tous ceux qui ont donné de leurs vies pour que les nôtres soient celle qu’elles sont.
Vient le passage du col de Sapey et après c’est difficile de se repérer dans ce brouillard. La mi-course passe et arrive la descente vers Maillat. Une horreur très pentue au milieu d’une coupe de bois. C’est très limite, des racines, des souches, des troncs d’arbres en travers et cette pente vertigineuse, le tout dans une ambiance humide et glissante. Le moral en prend un coup, mais il faut rester concentrer pour ne pas partir à la faute. En bas la délivrance avec le ravitaillement sous une tente surchauffé et on y retrouve notre sac apporté par l’organisation. C’est le moment de se changer et de remettre des vêtements sec. Grignoter un peu mais ce n’est pas la grande faim. Je retrouve une nouvelle fois Patrick qui repartira encore une fois devant. C’est le 60ème kilomètre et 8heures de course. Le moral est remonté car un détour par Nantua et hop les 25 derniers kilomètre.
L’appétit est un peu revenu et je recharge les batteries car je sais qu’une dernière belle galère de 15 km nous attend. Il faut monter sur la falaise qui domine Nantua et retrouver le brouillard. C’est encore un secteur difficile car après la grosse montée c’est une succession de raidillons techniques et très casse pattes. La fatigue aidant je me prend une belle gamelle dans un secteur rocheux bien descendant. Résultat un coude qui a bien tapé avec le dos et une cheville qui s’est coincé. Je repars après les insultes classiques. Les chemins sont défoncés 10 à 20 cm de boue par endroit, c’est Holiday on ice.Le moral en prend encore un coup car c’est interminable jusqu’au lac Genin.
Ma montre me lâche et plus d’indication de distances, mais je sais ou je suis et avec le jour qui se lève et le ciel flamboyant dominant une mer de nuages dans la vallée, je devine que je suis sur la même base que l’année dernière.
Enfin le Lac Genin et son dernier ravitaillement puis le dernier col et la descente sur Oyonnax. Les jambes sont bonnes et je commence à doubler quelques concurrents et ça me booste. Encore une cible à ma portée, je le rejoints sur la place du 11 novembre, je jette un regard a passage et me dis, tiens peut être un gars de ma catégorie, alors je place une accélération dans les escaliers devant le camp des maquisards reconstitué en plein centre-ville et accélère. Un coup d’œil derrière, c’est bon il a lâché, je maintiens l’allure jusque sur la ligne ou Fabienne m’attend depuis une heure.
Je retrouve Patrick Carpentier qui vient tout juste d’arriver aussi il y a 3 mn.
Voila 16h06 de course, 100km et 4500D+ 97 scratch et 2ème M4. Comptant car avec 500D+ supplémentaires, des chemins défoncés et boueux, je suis très satisfait.
Une heure après j’ai commencé à ressentir une douleur à la cheville gauche, et dans l’après-midi elle a commencé à gonfler. C’est le résultat de ma chute. Entorse qui tant qu’elle était chaude ne m’a absolument pas gêné hormis dans les partie raide tout au long des 25 derniers kilomètre.
Place aux soins et au repos pour récupérer et préparer pour la fin avril le MIUT à Madère.
Beaucoup d'abandons pour cette édition rendue beaucoup plus difficile, mais avec une organisation top. De beaux souvenirs et d'émotions enmaganisés et certainement un trail qui va encore se développer.
GUS
Citation de LALAU le février 21, 2024, 9:16 amSuper compte rendu et belle épreuve chargée d'histoire et d'émotions !
Décidément les coquillettes c'est pas ton met préféré ça me rappelle un championnat départemental où tu avais déjà fait un dépôt !
Félicitations
Captain
Super compte rendu et belle épreuve chargée d'histoire et d'émotions !
Décidément les coquillettes c'est pas ton met préféré ça me rappelle un championnat départemental où tu avais déjà fait un dépôt !
Félicitations
Captain
Citation de NICOLAS DEMAGNY le février 21, 2024, 11:02 amBravo Gus!!! Et super compte rendu!
Bravo Gus!!! Et super compte rendu!
Citation de AUGUSTE CARVALHO le février 21, 2024, 4:33 pmCitation de LALAU le février 21, 2024, 9:16 amSuper compte rendu et belle épreuve chargée d'histoire et d'émotions !
Décidément les coquillettes c'est pas ton met préféré ça me rappelle un championnat départemental où tu avais déjà fait un dépôt !
Félicitations
Captain
C'est la petite faiblesse de la famille et pour le Championnat c'était à Viriat.......un grand moment.......
Gus
Citation de LALAU le février 21, 2024, 9:16 amSuper compte rendu et belle épreuve chargée d'histoire et d'émotions !
Décidément les coquillettes c'est pas ton met préféré ça me rappelle un championnat départemental où tu avais déjà fait un dépôt !
Félicitations
Captain
C'est la petite faiblesse de la famille et pour le Championnat c'était à Viriat.......un grand moment.......
Gus
Citation de STEPHANE BERGER le mars 3, 2024, 9:25 pmSalut Gus,
toutes mes félicitations avec un peu de retard, je suis impressionné.
J’aimerais beaucoup te voir au départ d’un ultra en vélo. Avec ta caisse de la cap et un peu plus de bornes en bike, tu devrais bien tirer ton épingle du jeu.
Il y a un BRM de 200 kms dans deux semaines à St Bonnet de Mure, j’dis ça j’dis rien 😉
Stef
Salut Gus,
toutes mes félicitations avec un peu de retard, je suis impressionné.
J’aimerais beaucoup te voir au départ d’un ultra en vélo. Avec ta caisse de la cap et un peu plus de bornes en bike, tu devrais bien tirer ton épingle du jeu.
Il y a un BRM de 200 kms dans deux semaines à St Bonnet de Mure, j’dis ça j’dis rien 😉
Stef
